Parmi les mots d'ordre de ces rassemblements, figurent un «cessez-le-feu immédiat et la levée du blocus», «l'arrêt des bombardements et des déplacements forcés de la population», la protection du peuple palestinien à Gaza et en Cisjordanie, ou encore la «libération des otages et des prisonniers» , ainsi qu'une «paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens».
Cessez-le-feu immédiat
Par ailleurs, le ministère palestinien des Affaires étrangères a accusé mercredi l'armée israélienne d'avoir «violé de façon flagrante» le droit international en lançant une opération militaire dans l'hôpital al-Shifa de Gaza, et réclamé une «intervention internationale pour y protéger les civils».
Environ 2300 personnes selon l'ONU, dont des patients, des soignants et des déplacés de guerre se trouvent à l'intérieur d'al-Shifa dans des conditions désastreuses, sans eau ni électricité. L'armée israélienne, elle, accuse le Hamas d'utiliser al-Shifa comme une base militaire.
Environ 2300 personnes selon l'ONU, dont des patients, des soignants et des déplacés de guerre se trouvent à l'intérieur d'al-Shifa dans des conditions désastreuses, sans eau ni électricité.
Pour sa part, le président turc, dans une adresse aux parlementaires a qualifié Israël «d’État terroriste» qui commet des crimes de guerre et viole le droit international, dénonçant le «génocide en cours» dans la bande de Gaza. Il a ajouté que la Turquie «prendra des mesures sur la scène internationale» afin d’y «mettre fin».
Le président turc a également demandé au Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, d'annoncer si Israël possédait ou non des bombes nucléaires, et a ajouté que le Premier ministre israélien était "déchu" de son poste.