Société

Média : Le président Dabonné Seydou de la FIJDA invité du 8eme numéro des " RDV" de la conférence

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À la fin de ce RDV, quelques membres de la conférence et le président Dabonné Seydou
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Le président de la fédération ivoirienne de judo et discipline associée ( FIJDA) Dabonné Seydou a répondu présent au 8emenuméro des " RDV de la conférence" des journalistes sportifs des radios privées de Côte d'Ivoire ( CJSRPCI) avec au cœur des échanges " JO Paris 2024 , quels enjeux pour le judo Ivoirien" . C'était ce jeudi 25 mai 2023 dans les locaux de nos confrères de Radio Amitié de Yopougon

Les " RDV de la conférence" ,une tribune d'excellence pour mettre en lumière tous les sports 

Pour ce 8eme numéro, le président Dabonné Seydou du judo a débattu du thème " JO Paris 2024 , quels enjeux pour le judo Ivoirien".                                

Ce 8eme numéro des" RDV de la conférence "  qui est une tribune d'excellence pour mettre à la lumière tous les sports sans discrimination fut à propos pour le président de la FIJDA Dabonné Seydou pour nous parler des qualifications de nos athlètes aux " JO de Paris 2024 " 

Un seul qualifié pour les JO au niveau africain

Au Judo, il y a trois niveaux de qualification pour les Jeux Olympiques. Le premier niveau concerne les 16 meilleurs judokas au monde. Le deuxième niveau est celui Africain. ” Au niveau Africain,  on a un seul qualifié. Nous le poussons pour qu’il se qualifie au niveau mondial pour qu’on puisse avoir un autre qualifié au niveau Africain. Nous avons donc potentiellement deux qualifés pour les JO”, a expliqué le président Dabonné sans donner le nom de ce dernier. Il a ensuite donné les raisons pour lesquelles il est difficile à la Côte d’Ivoire de décrocher une médaille olympique aux JO. ”

 16 ans pour former un athlète pour nous ramener une médaille olympique 

Il est allé plus loin pour expliquer " qu'il nous faut 16ans pour former un athlète pour nous ramener une médaille olympique. Cela ne veut pas dire qu'on va à ces  JO de Paris en victime expiatoire" . Et d'expliciter que " les statistiques mondiales montrent que pour être sur le podium, il faut être parmi les 16 premiers au monde       

Le 1er athlète Ivoirien est classé 46eme mondial, à dire vrai nous n'avons pas le bagage physique.          

 Et de se résoudre à la réalité en affirmant que " Alors que notre premier athlète est classé 46e mondial. A dire vrai, nos athlètes n’ont pas le bagage physique, tactique et technique pour faire face aux meilleurs au monde ”, a-t-il expliqué. Selon le président Dabonné, il faut célébrer les judokas Ivoiriens qui arrivent à se qualifier pour les JO. Car sur 40 places au niveau mondial, l’ Afrique en a 5.

Triple événement à Abidjan: Tenir le pari de l’organisation

La Côte d’Ivoire est en train de reprendre sa place au niveau international. Et c’est à travers un triple événement qui aura lieu ces jiurs-ci à Abidjan que la Fédération veut marquer le coup. ” Nous allons tenir le pari de l’organisation parce que ce tournoi international est un challenge. L’Objectif pour nous n’est pas de le remporter. Nous attendons 300 athlètes venant de 25 pays”, a indiqué le patron du Judo ivoirien. Bien avant le tournoi, il y aura un séminaire sur les nouvelles réformes de l’arbitrage pour les JO. En ce qui concerne l’Open des cadets, le Maroc, la Tunisie, le Liban, le Portugal, la France .. ont déjà confirmé leur participation au rendez-vous d’Abidjan."

Judo à l’école, Judo social et Judo des jeunes filles, les 3 grands axes de l’héritage.

Les perspectives du Judo ivoirien se scindent en trois grands axes. Le premier concerne le Judo à l’école. ” Nous devons construire une école primaire et un lycée. Pour cela, nous avons obtenu un hectare à Agboville. Nous attendons notre partenaire français pour lancer ce projet ”, a indiqué le président Dabonné. En ce qui concerne le Judo social, trois villes ont été répertoriées pour abriter des salles. Il s’agit d’Agboville, de Dimbokro et de Korhogo, Contrairement au premier projet, le financement du Judo social n’est pas entièrement bouclé. Le troisième axe concerne l’ouverture des centres pour les jeunes filles. ” Ce projet se fera au Lycée des jeunes filles de Yopougon et est entièrement financé par la Fédération. Dans un mois au plus tard va sortir de terre ce centre de haut niveau de Yopougon Nous avons signé un partenariat avec l’INJS pour former uniquement des professeurs de Judo”, a-t-il poursuivi avant d’ajouter ”Je dois structurer la Fédération. Faire en sorte que le président qui viendra trouve en place un protocole où tous les acteurs du Judo vont s’inscrire”.                                

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Bravo au bureau de la  CJSRPCI dirigé par notre confrère ARNAUD ATSE GASA qui positionne si besoin était cette  conférence au nombre des organisations de journalistes de sport qui comptent

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