« Cette année est placée sous le signe de la jeunesse. Donnons un sens, un contenu à ce décret. Nous les jeunes, on doit se faire entendre. On doit avoir beaucoup plus de responsabilités », a fait observer la candidate du PPACI, dans les localités de Adahou village, Omouho M’Po, Koffikro et Offoriguié qu’elle a visitées.
Investir les postes
Selon elle, pour avoir ces responsabilités, les jeunes devraient investir les postes qui en découlent. « Ma candidature à la mairie a cette ambition-là. De vous représenter, de parler et d’agir pour nous et par nous. J’attends de vous donc que vous plébiscitiez ma candidature le samedi quand vous allez voter. Que ce soit à l’UVICOCI (Union des Villes et Communes de Côte-d’Ivoire), au Sénat, à l’Assemblée Nationale, etc., dans toutes les sphères de de décisions, les jeunes doivent se faire entendre pour réaliser ce qui est bien pour eux, pour leur avenir », a-t-elle expliqué.
Que ce soit à l’UVICOCI (Union des Villes et Communes de Côte-d’Ivoire), au Sénat, à l’Assemblée Nationale, etc., dans toutes les sphères de de décisions, les jeunes doivent se faire entendre pour réaliser ce qui est bien pour eux, pour leur avenir.
Après avoir exposé son programme pour les jeunes, dans l’agriculture, l’élevage, l’entrepreunariat, les NTIC et le sport.
Aux femmes, Fleur Aké M’Bo Esther a dit ceci : « J’ai constaté qu’il y a des associations de femmes qui existent mais c’est pour le folklore.
Alors, ce qu’on va faire, quand je serai élue, je vais appeler à une grande rencontre toutes les associations de femmes d’Agboville pour mettre en place une convention qui va créer des activités diverses à revenus pour vous occuper. Il faut qu’on dise qu’ à Agboville, une femme a pris la mairie et que les femmes de cette ville sont devenues puissantes dans le commerce du vivrier. Il faudrait que les femmes d’Agboville prennent aussi leur place dans le commerce du vivrier en Côte-d’Ivoire aux côtés de leurs sœurs, les femmes Gouro. C’est le défi que nous devons relever ensemble »