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Violents combats à Bakhmout : Les grosses inquiétudes de Volodymyr Zelensky

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Volodymyr Zelensky et ses troupes se défendent becs et ongles.

Volodymyr Zelensky admet qu’il sera sous pression si la Russie prend Bakhmout, rapporte Bang Showbiz Belguim, dans une publication ce jeudi 30 mars 2023.

Depuis plusieurs mois, la ville située à l’Est de l’Ukraine est l’épicentre de violents combats où les forces russes semblent avoir l’avantage même si les positions stagnent depuis ces dernières semaines. Le président ukrainien a récemment expliqué que ses troupes n’abandonneraient pas la ville même si les pertes humaines sont lourdes, souligne notre source.

La guerre, une tarte

Le chef d’État a déclaré à Associated Press : « S'il (Vladimir Poutine) sent du sang, s'il sent que nous sommes faibles, il poussera, poussera, poussera. »

Il a ajouté : « Nous ne pouvons pas perdre les étapes parce que la guerre est une tarte - des morceaux de victoires. Petites victoires, petits pas. Notre société se sentira fatiguée. Elle me poussera à faire des compromis avec elle. »

Cette semaine, l’Ukraine a reçu les livraisons de chars occidentaux, notamment de la part de l’Allemagne, de la Pologne et du Royaume-Uni, et cette aide militaire pourrait permettre de lancer une contre-offensive d’envergure.

Zelensky, au cours de son discours, a également indiqué qu’il était prêt à rencontrer Xi Jinping pour évoquer son plan de paix qu’il a présenté au président russe la semaine dernière.

Il est possible que les autorités régionales essaient d’atteindre les objectifs de recrutement qui leur sont assignés en contraignant des hommes à s’engager,

Par ailleurs, Le Monde a fait savoir que la Russie se prépare à une nouvelle vague de recrutement. « Dans son rapport quotidien, le ministère de la défense britannique signale que les autorités russes se préparent à lancer une grande campagne de recrutement militaire dans le but d’enrôler 400 000 soldats supplémentaires. Cette campagne serait basée sur le « volontariat ».

Mais, selon les Britanniques, il est possible que les autorités régionales essaient d’atteindre les objectifs de recrutement qui leur sont assignés en contraignant des hommes à s’engager, sachant que l’objectif de 400 000 « volontaires » reste hypothétique », soutient le confrère.

J.B.

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