Paul Axel
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Il s’agit des barrages en construction d’Assoko Yao Diékro, de Raviart et de Bendressou, du centre de groupage de Toumodi, du centre de mise à niveau et de conformité des promoteurs dirigé par SOFRECO, de la PME « Biomasse Ivoire » et des cages flottantes réalisées sur le lac Kossou.
D'importants résultats dans plusieurs secteurs d'activités
La mission conjointe a également échangé avec l’Association des Femmes agricoles du Bélier (AFAGRIB) de Yobouékro et les femmes « moissonneurs » de Toumodi, des femmes modèles qui ont pour principales activités la production des cultures maraîchères et la production puis la transformation de la banane et du manioc.
Le chef de la délégation de la BAD, Mamadou Kane, ingénieur en chef en irrigation et infrastructures rurales, et responsable du 2PAI-Bélier au sein de cette institution, s’est félicité des progrès réalisés dans tous les secteurs du Projet : « Dans le cas du 2PAI-Bélier, il faut avouer que les résultats sont très importants dans tous les secteurs de l’agriculture, de l’élevage et même de l’aquaculture, ainsi qu’en amont et en aval des chaînes de valeur, des résultats importants ont été relevés. Il y a des progrès très probants par rapport aux objectifs de développement du Projet qui tire à sa fin ».
Cette première mission de terrain de l’année 2023 qui a permis à la délégation conjointe de s’imprégner des réalisations et des activités du 2PAI-Bélier dans sa mise en œuvre, a enregistré la participation du ministère du Plan et du Développement, du ministère des Ressources animales et halieutiques et du ministère de l’Économie et des Finances.
Il y a des progrès très probants par rapport aux objectifs de développement du Projet qui tire à sa fin
Le 2PAI-Bélier vise à créer les bases de l’industrialisation de la région du Bélier (Toumodi, Djékanou, Tiébissou et Didiévi) et du District autonome de Yamoussoukro (Yamoussoukro et Attiégouakro) à partir du secteur agricole. Financé à hauteur de 80 milliards de FCFA par la BAD et prévu pour s’achever à fin décembre 2024, il cible les acteurs de la chaîne de valeur de six spéculations que sont le riz, le maïs, le manioc, le maraîcher, la pisciculture et l’élevage de porc.
Le titre est de la rédaction
Source : CICG
