« Nous sommes certains et convaincus que dans les mois à venir, cette guerre sera réduite à une simple expression. L’ennemi n’aura aucun espace pour s’épanouir au Burkina Faso. Il n’y a plus d’espace aujourd’hui où l’ennemi peut se sanctuariser, et nous allons le combattre jusqu’à son dernier retranchement. Nous allons également combattre ses soutiens jusqu’à leurs derniers retranchements », a déclaré Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo à TASS.
La peur a changé de camp
Le porte-parole du gouvernement burkinabè, également ministre en charge de la Culture, s’exprimait le samedi 18 novembre 2023, en marge du Forum international de la Culture de Saint-Pétersbourg (Russie).
« Aujourd’hui, la peur a changé de camp au Burkina Faso car nous disposons des Forces de défense et de sécurité ainsi que des volontaires pour la défense de la Patrie, mieux équipés et déterminés à passer à l’offensive », a ajouté M. Ouédraogo.
Donc aujourd’hui au Burkina Faso, l’espoir est né, l’horizon s’éclaircit car de plus en plus de personnes déplacées internes commencent à retourner dans leurs zones, celles-ci ayant été reconquises.
Les Forces combattantes sont « soutenues pour cela par l’essentiel du peuple burkinabè afin de mettre fin à cette guerre qui nous a été imposée, instrumentalisée et soutenue par certains de nos partenaires prétendant nous aider », a-t-il encore déclaré à TASS.
« Donc aujourd’hui au Burkina Faso, l’espoir est né, l’horizon s’éclaircit car de plus en plus de personnes déplacées internes commencent à retourner dans leurs zones, celles-ci ayant été reconquises, et l’armée ainsi que le peuple aspirent à une victoire », s’est réjoui Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo.
Le ministre a rappelé les propos du chef de l’État, le capitaine Ibrahim Traoré, qui a affirmé à plusieurs reprises, que si cette guerre a été imposée à la présente génération, c’est parce qu’elle a les moyens de la remporter.