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78è Assemblée générale de l’ONU : La Côte d’Ivoire représentée par le Vice-président Tiémoko Meyliet Koné

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Le Vice-président Tiémoko Meyliet Koné est à New York pour la 78è AG de l'ONU.
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La Côte d’Ivoire prend part à la 78è Assemblée générale des Nation unies qui s’ouvre mardi à New York. Le Vice-président Tiémoko Meyliet Koné est depuis dimanche 17 septembre aux Etats unis d’Amérique à cet effet.

Le Vice-président Tiémoko Meyliet Koné,  au nombre des 145 chefs d’État et de gouvernement sont attendus à New York pour la semaine de « haut niveau » de l’Assemblée générale de l’ONU qui reprend à plein régime pour la première fois depuis la pandémie.

Grands absents

On note de grands absents à ce rendez-vous. Depuis une semaine, c’est le commentaire préféré dans les couloirs de l’ONU : le chef du gouvernement britannique Rishi Sunak, mais aussi le président français Emmanuel Macron ne seront pas à l’AG, alors qu'ils sont tous deux membres permanents du Conseil de sécurité où ils peuvent exercer leur véto. Ils ne prononceront pas de discours phare, ni ne seront aux côtés de Volodymyr Zelensky qui sera pour la première fois en personne au Conseil mercredi.

Difficile de comprendre pour les diplomates ici qu’Emmanuel Macron, qui se dit lui-même pourfendeur du multilatéralisme, ait préféré rester en France accueillir le roi Charles III ou aller à la messe avec le pape François. 

C’est la première fois en dix ans qu’un Premier ministre britannique manque le rendez-vous, souligne notre correspondante à Londres Marie Boëda. Le chef du gouvernement envoie son ministre des Affaires étrangères et le vice-Premier ministre. La raison officielle, un calendrier chargé : Rishi Sunak revient du sommet du G20 en Inde et se rendra à la COP28 à Dubaï en novembre prochain. Il est donc très présent sur la scène internationale, défend Downing Street, mais il doit aussi s'occuper des Britanniques car à un an des élections générales, les conservateurs restent loin derrière les travaillistes dans les sondages.

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Les dirigeants chinois et russes ne sont pas attendus non plus à New York, mais cela n’est pas inhabituel. Alors que depuis longtemps le monde n’a jamais été aussi fragmenté, alors que des réformes au système global sont réclamées, ces absences font lever bien des sourcils, ne serait-ce que pour le symbole. Difficile de comprendre pour les diplomates ici qu’Emmanuel Macron, qui se dit lui-même pourfendeur du multilatéralisme, ait préféré rester en France accueillir le roi Charles III ou aller à la messe avec le pape François. 

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