A travers cet ouvrage, l’auteur entend partager sa vision sur le sujet délicat des successions et contribuer à éclairer les citoyens sur ces questions, en mettant à leur disposition des informations actualisées sur le sujet. Il passe en revue les grandes questions sur la dévolution successorale et la transmission successorale.
Un excellent support didactique
Procédant à la présentation de l’ouvrage, le Professeur YEO Nawa de la Faculté de Droit de l’Université Lorougnon Guédé de Daloa, a relevé que « la rigueur scientifique fait de l’ouvrage du Professeur OBLE, un puissant outil de méthodologie pour la rédaction des mémoires, des thèses, des articles de doctrine, des décisions de justice et des conclusions des avocats ».
Le Garde des Sceaux a, pour sa part, rendu hommage à une grande dame des sciences juridiques, dont il s’inspire dans le cadre de l’accomplissement de ses missions. Il a remercié le Professeur LOHOUES-OBLE pour la qualité de son travail et s’est dit admiratif de son parcours.
Première femme agrégée de Droit privé en Afrique, Jacqueline LOHOUES-OBLE est Professeur titulaire de chaire en droit. Actuellement, membre du Conseil Constitutionnel de Côte d’Ivoire, elle a œuvré à la détermination de la politique du Droit et à sa mise en œuvre, en tant que ministre de la Justice et député à l’Assemblée Nationale.
Après la sortie de 2 ouvrages, en 2016 et en 2018, la 3ème édition de ‘’ le Droit ivoirien des successions’’ a été confiée au Centre National de Documentation Juridique (CNDJ), établissement public à caractère administratif sous la tutelle du Ministère de la Justice et des Droits de l’Homme.
Première femme agrégée de Droit privé en Afrique, Jacqueline LOHOUES-OBLE est Professeur titulaire de chaire en droit
Le CNDJ a pour mission d’assurer la promotion du Droit en Côte d’Ivoire. A ce titre, il est chargé de collecter les informations et de les mettre sous forme de base de données, en vue de leur consultation, leur publication et leur diffusion sur tout support.
Le titre et le chapeau sont de la rédaction
Source : Ministère de la Justice et des Droits de l'Homme